Très peu de touristes savent que parmi les 104 espèces de mammifères sauvages terrestres vivant en France métropolitaine, 75 espèces sauvages vivent en Ardèche. Trop pressés et bruyants, les promeneurs ne les voient jamais.
Parmi les mammifères vivant dans notre région, on trouve le champion du monde de la miniature, une petite musaraigne qui ne pèse que 2 grammes pour six centimètres de long, queue comprise, il s'agit du Pachyure étrusque qui vit dans le maquis ardéchois. Cet animal est très difficile à observer du fait de sa petite taille et surtout de son activité nocturne. Ce sont ses restes trouvés dans les pelotes de rapaces qui permettent de témoigner de sa présence.
La liste des mammifères sauvages figurant sur cette page provient d'observations effectuées sur le terrain par des scientifiques.
Les Insectivores
Les Erinacéidés
Le Hérisson d'Europe
Les Soricidés.
La Crocidure musette
La Cricidure des jardins
La Pachyure étrusque
La musaraigne couronnée
La Musaraigne pygmée
La Crossope aquatique
La Crosope de Miller
Les Talpidés
La Taupe d'Europe
Les chiroptères
Les chauves-souris sont des Mammifères. Comme tous les représentants de cette classe, elles ont leur corps en partie couvert de poils et les femelles allaitent les petits.
Au cours de l’évolution, la main de la chauve-souris s'est transformée en aile. Tous les doigts, excepté le pouce, se sont démesurément allongés, ils sont sous-tendus par une fine membrane de peau : le patagium. Ces deux "mains-ailées", permettent à l'animal de se déplacer dans les airs avec une extraordinaire aisance. Les premiers fossiles connus de chiroptères datent de l'Éocène et sont vieux de 55 millions d'années ; ils possédaient déjà toutes les caractéristiques des chauves-souris actuelles.
Les chauves-souris ne sont pas des rongeurs, elles se reproduisent très peu et n'ont généralement qu'un seul petit par an. Les chauves-souris se sont adaptées à tous les milieux, des latitudes nordiques jusqu'à l'équateur. Seules quelques îles éloignées des continents et dépourvues d’eau douce, les très hautes montagnes et les calottes polaires leur sont hostiles.
Aujourd'hui, le nombre d’espèces sur la planète n’est pas totalement connu. Suivant les auteurs il oscille entre 1000 et 1200 espèces réparties dans 18 familles. Actuellement 34 espèces sont reconnues pour la France.
Certaines espèces tropicales participent à la reforestation en transportant des graines ou en pollinisant les arbres. Sur toute la planète les chauves-souris insectivores participent à la régulation des insectes. Les chauves-souris de nos régions sont souvent les principaux mammifères sauvages à vivre dans nos maisons.
Au cours de l’évolution, la main de la chauve-souris s'est transformée en aile. Tous les doigts, excepté le pouce, se sont démesurément allongés, ils sont sous-tendus par une fine membrane de peau : le patagium. Ces deux "mains-ailées", permettent à l'animal de se déplacer dans les airs avec une extraordinaire aisance. Les premiers fossiles connus de chiroptères datent de l'Éocène et sont vieux de 55 millions d'années ; ils possédaient déjà toutes les caractéristiques des chauves-souris actuelles.
Les chauves-souris ne sont pas des rongeurs, elles se reproduisent très peu et n'ont généralement qu'un seul petit par an. Les chauves-souris se sont adaptées à tous les milieux, des latitudes nordiques jusqu'à l'équateur. Seules quelques îles éloignées des continents et dépourvues d’eau douce, les très hautes montagnes et les calottes polaires leur sont hostiles.
Aujourd'hui, le nombre d’espèces sur la planète n’est pas totalement connu. Suivant les auteurs il oscille entre 1000 et 1200 espèces réparties dans 18 familles. Actuellement 34 espèces sont reconnues pour la France.
Certaines espèces tropicales participent à la reforestation en transportant des graines ou en pollinisant les arbres. Sur toute la planète les chauves-souris insectivores participent à la régulation des insectes. Les chauves-souris de nos régions sont souvent les principaux mammifères sauvages à vivre dans nos maisons.
Les Rhinolophidés
C'est la structure du museau en forme de feuille nasale (elles se distinguent par un nez en forme de fer à cheval) et l'accroche systématique de l'animal, pendu tête en bas, qui caractérise le plus cette famille. Les rhinolophes se rencontrent du centre au sud de l'Europe. Au cours des cinquante dernières années leurs effectifs et leur aire de distribution ont reculé partout.
Les scientifiques pensent qu’il y a un lien entre le type d’émissions réalisées par les individus de cette famille et leur anatomie particulière. Cette thèse est confortée par le fait que les cris émis sont différents de ceux qu’on rencontre chez les autres familles de chiroptères. En l’occurrence, l’intervalle de fréquences utilisé par les rhinolophidés est moins large.
5 espèces en Europe, 4 en France, 3 en Ardéche.
Le Grand Rhinolophe
Le Petit Rhinolophe
Le Rhinolophe euryale
Les Vespertilionidés
Des très importantes variations de taille et d'aspect apparaissent au sein de la plus grande famille de chauves-souris d'Europe. C'est la longueur de l'avant-bras et la forme des oreilles et surtout du tragus (petit pavillon interne à l'oreille) qui permet le plus souvent de séparer les espèces. Plusieurs sont dites jumelles, tant leur morphologie est proche et leur identification reste difficile, même pour les spécialistes.
Le Grand Murin et le petit Murin. (Myotis myotis) et (Myotis blythii)
Plusieurs spécimens ont été observés au Château de Craux. En Ardèche le Petit Murin semble nettement plus commun. Le Grand Murin est l'une des plus grande chauve-souris d'Europe avec une taille de 68 à 80 cm.Le Murin de Bechstein
Le Murin à oreilles échancrées
Le Murin de Daubenton
Le Murin de Capaccini
Le Murin de Natterer
Le Murin à Moustaches
Le Murin d'Almcathoe
L'Oreillard roux et l'Oreillard gris
La Sérotine commune, (Eptesicus serotinus)
La Sérotine bicolore, (Vespertilio murinus)
La Noctule comune
La Noctule de Leisler
La Pipistrelle commune
La Pipistrelle de Kuhl
La Pipistrelle de Nathusius
La Pipistrelle soprane
Le Vespère de Savy, (Hypsugo savii)
La Barbastelle d'Europe, Barbastella barbastellus)
Le Minioptère de Schreiber
Les Molossidés
1 seule espèce en Europe et en France, elle est présente en Ardèche.Le Molosse de Cestoni (Tadarida teniotis)
Les Molosses sont caractérisés par une longue queue libre qui dépasse nettement à l'arrière de la chauve-souris.
Deux larges oreilles coiffent sa tête comme une sorte de bonnet frigien. Le museau du Molosse est large et massif et évoque celui d’un chien. Le Molosse de Cestoni est parfaitement équipé pour le milieu qui est le sien : les hautes falaises et les fissures profondes, qu’elles soient maritimes, montagneuses ou urbaines, comme les immeubles. Il possède des pelotes adhérentes sur la face intérieure de ses poignets pour mieux coller aux parois et une queue tactile pour sentir les fissures de la roche.
Deux larges oreilles coiffent sa tête comme une sorte de bonnet frigien. Le museau du Molosse est large et massif et évoque celui d’un chien. Le Molosse de Cestoni est parfaitement équipé pour le milieu qui est le sien : les hautes falaises et les fissures profondes, qu’elles soient maritimes, montagneuses ou urbaines, comme les immeubles. Il possède des pelotes adhérentes sur la face intérieure de ses poignets pour mieux coller aux parois et une queue tactile pour sentir les fissures de la roche.
Les Lagomorphes
Les lagomorphes sont de petits mammifères à fourrure, aux longues oreilles et à la queue courte, dont font partie les lapins et les lièvres. L’ordre des lagomorphes, autrefois confondu avec celui des rongeurs, en est aujourd’hui distinct, sur la base d’un certain nombre de différences physiologiques et morphologiques. Les lagomorphes sont caractérisés par la présence de deux paires d’incisives à la mâchoire supérieure, et d’une paire à la mâchoire inférieure. Ces dents ont la particularité de pousser de façon permanente, leur taille étant limitée par l’usure due au frottement mutuel des incisives inférieures et supérieures.
Les Léporidés
Les Léporidés (Leporidae) sont une famille de mammifères lagomorphes comprenant les lièvres et les lapins.Lièvre et lapins ont peu de choses en commun :
- Les lièvres forment le genre Lepus. Ils sont en général plus grands que les lapins. Ils ont des oreilles plus longues et une fourrure faite de poils plus longs et noirs au sommet. Les lièvres ont un comportement solitaire. Ils nichent en plein air dans un petit recoin. Ils naissent avec les yeux grands ouverts, couverts de poils et sont capables de courir quelques minutes après leur naissance.
- Les lapins sont divisés en plusieurs genres. Ils ont une silhouette moins élancée. Ils vivent en groupe et creusent des terriers. Ils naissent aveugles et nus, et doivent donc rester cachés dans un nid sous terre pendant plus d'une semaine avant de sortir à l'air libre. Issu du lapin européen, le lapin domestique est élevé dans le monde entier.
Le Lapin de garenne
Le Lièvre d'Europe
Les rongeurs
Les Sciuridés
En France, deux espèces de Sciuridés natifs sont rencontrées, l’Écureuil roux (Sciurus vulgaris) et la Marmotte des Alpes (Marmota marmota). La marmotte, présente naturellement dans les Alpes, a été introduite à partir de 1948 dans les Pyrénées et au cours des années 1980 dans le Massif Central, notamment en Ardèche et dans le Cantal. Les populations semblent être stables dans les Alpes, où l’espèce est localement chassée.
L’Écureuil roux
La Marmotte des Alpes (Marmota marmota)
La marmotte des Alpes est un mammifère fouisseur de l'ordre des rongeurs. Il s'agit de l'une des espèces les plus répandues du genre Marmota, qui en compte une quinzaine. Elle vit entre 800 et 3 000 mètres d'altitude. On la rencontre également dans les Carpates. Elle a été réintroduite avec succès dans les Pyrénées en 1948, alors qu'elle avait disparu à la fin du Pléistocène.
En Ardèche des marmottes ont été introduites à plusieurs époques : 1978,1985,1986,1987 sous l'égide de l'Office National de la Chasse. De 1982 à 1991, cent huit marmottes ont été relâchées aux environs du Mézenc.
Il y aurait environs 500 sujet dans les environs du Mézenc.
Les Castoridés
Le Castor d'Eurasie (Castor fiber)
L'espèce admet plusieurs noms vulgaires : le Castor d'Europe est aussi appelée Castor commun, Castor d'Eurasie, Castor eurasien ou encore Castor européen. Espèce protégée.
Les Gliridés
Les Gliridés (Gliridae, syn. Myoxidae) sont une famille de rongeurs de tailles moyennes appelés loirs, lérots, lérotins, muscardins voire souris. Dans les classifications récentes, la famille regroupe en général 28 espèces réparties dans 9 genres et dans trois sous-familles mais en sus, plus de 30 genres fossiles datant au plus tôt du Bartonien ont été découverts1. Le nom scientifique Gliridae, désormais plus généralement admis que Myoxidae, a été créé par un détenteur de la Chaire royale de zoologie de l'université de Glasgow, Lockhart Muirhead en 1819, alors que celui de Myoxidae l'a été par John Edward Gray en 1821.
Le Loir gris
Le Lérot
Le Muscardin
Les Muridés
Le Campagnol roussâtre
Le Campagnol souterrain
Le Campagnol de Fatio
Le Campagnol provençal
Le Campagnol des champs
Le Campagnol agreste
Le Campagnol des neiges
Le Campagnol terrestre
Le Campagnol amphibie
Le Rat musqué
La Souris domestique
La Souris d'Afrique du nord
Le Mulot sylvestre
Le Mulot à collier
Le Rat des moissons
Le Rat surmulot
Le Rat noir
Les Myocastoridés
Le Ragondin (Myocastor coypus)
Le ragondin ou castor des marais , appelé aussi autrefois myopotame, est un mammifère originaire d'Amérique du Sud, introduit en Europe au XIXe siècle pour l'exploitation de sa fourrure. Tous les individus présents en Europe proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires.
Les carnivores
Les Canidés
Le Renard roux
Les Félidés
Le Chat errant et le Chat haret
Le Lynx boréal (Lynx lynx)
Le Lynx boréal, également appelé Lynx d'Eurasie, Lynx commun, Loup-cervier et improprement Lynx d'Europe, est une espèce de félin du genre Lynx. Aisément reconnaissable à ses longues pattes, sa courte queue et sa face aux oreilles pointues, le Lynx boréal apparaît dans de grandes variétés de robes et de tailles. Habitant des forêts boréales, c'est un félin discret chassant les petits ongulés comme le chevreuil. Largement distribuées, ses populations ont cependant régressé en Europe de l'Ouest, où plusieurs tentatives de réintroduction ont eu lieu.
Quatre nouvelles observations en 1989, 1990, 1992 et 1993 sur différentes communes de l'Ardèche. Afin de le laisser dormir tranquillement nous ne dirons pas où il se trouve.
Quatre nouvelles observations en 1989, 1990, 1992 et 1993 sur différentes communes de l'Ardèche. Afin de le laisser dormir tranquillement nous ne dirons pas où il se trouve.
Les Mustélidés
Les mustélidés sont des petits carnivores. En France, certaines espèces sont très communes comme la belette; tandis que d’autres sont parmi les espèces les plus rares de France, comme le vison d’Europe. Ces animaux sont souvent mal perçus par les agriculteurs ou les chasseurs, malgré leur utilité indéniable.
Le Blaireau européen
La Fouine
La Martre des pins
Le Putois d'Europe
La Belette d'Europe
L'Hermine
La Loutre d’Europe (Lutra lutra).
La Loutre d'Europe ou Loutre européenne souvent qualifiée de loutre commune dans les pays d'Europe où elle est présente, est un mammifère carnivore semi-aquatique et principalement nocturne, de la famille des Mustélidés (sous-famille Lutrinés). Elle est l'une des trois espèces de loutres se rattachant au genre Lutra. En France, on ne trouve que cette seule espèce de loutre.
En Ardèche, la bonne nouvelle est arrivée à la fin des années 90, lorsque des spécialistes ont retrouvé des traces laissées par la loutre sur. Dans le Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche, les rivières ont alors été passées au peigne fin. Grâce à ce travail de fourmi, on sait aujourd’hui qu’une grande partie des rivières du Parc sont de nouveau fréquentées : la loutre est de retour !
En Ardèche, la bonne nouvelle est arrivée à la fin des années 90, lorsque des spécialistes ont retrouvé des traces laissées par la loutre sur. Dans le Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche, les rivières ont alors été passées au peigne fin. Grâce à ce travail de fourmi, on sait aujourd’hui qu’une grande partie des rivières du Parc sont de nouveau fréquentées : la loutre est de retour !
Le Parc met en place depuis 2004 un programme d’accompagnement du retour de la loutre financé par la Direction Régionale de l’Environnement et l’Agence de l’Eau comprenant le suivi de sa répartition, la formation des naturalistes, des techniciens de rivières et des guides de pêche, ainsi que l’information du grand public.
- La présence de la loutre a été relevée sur 10 rivières de l'ouest du département. Sa présence est permanente. On peut noter que 60, 70 kilomètres de rivières sont occupés par ce carnivore avec une densité de une loutre pour 5 à 10 kilomètres. Le nombre d'animaux serait de 10 à 15 individus. Il s'agit donc d'une population très limitée et liée aux populations de la Haute Loire ou de la Lozère.
Les Viverridés
Les viverridés se caractérisent par un corps élancé, un pelage généralement tacheté, une queue longue, souvent annelée, un museau pointu. De nombreuses espèces sont dotées de glandes anales développées sécrétant une substance odorante utilisée en parfumerie. Il y a 15 genres et 35 espèces, regroupés en 4 sous-famille. En Ardèche on trouve une espèce.La Genette commune
Les Artiodactyles
Les Suidés
Le Sanglier
Les cervidés
Le Cerf élaphe
Le Chevreuil européen
Les Bovidés
Le Chamois (Rupicapra rupicapra)
Le chamois est une espèce de mammifères de la famille des Bovidés et de la sous-famille des Caprinés. Les six sous-espèces reconnues vivent dans les zones rocheuses, les forêts et pâturages de montagnes, depuis les Alpes françaises jusqu'à l'Anatolie et l'Azerbaïdjan, en passant par les Vosges, le Jura, le Massif central, les Balkans et les Carpates.
L'isard, une espèce voisine appartenant au même genre Rupicapra, vit dans les Pyrénées, la cordillère Cantabrique et les Apennins italiens.
Plusieurs chamois ont été observés en divers lieux d’Ardèche.
Animaux devenus sauvages.
En plus des espèces naturellement sauvages, il faut signaler des animaux retournés à l'état sauvage, c'est le cas des groupes de chèvres qui se sont installées dans les gorges de l’Ardèche, dans la région de Vallon Pont d'Arc.
En 1958, le propriétaire du château de Gaud introduit deux chèvres chamoisées et un bouc afin d'entretenir son domaine en luttant contre les friches qui s'étendent. Ensuite, son épouse fait venir une dizaine de petites chèvres d'Abyssinie. Le domaine étant mal clôturé, vers 1970, certaines chèvres s'échappent et vont vivre leur vie dans les alentours. Depuis cette époque les chèvres s'installent dans un site idéal avec une nourriture abondante. Puisqu'elles ne sont gérées par personne il y a lieu de dire qu'elles sont devenues sauvages.Elles mettent bas seules. Les scientifiques parlent de populations caprines férales. Et les effets de la consanguinité produisent des effets amusants : le pelage est parfois différent d'un coté sur l'autre.
La majeure partie de la population se rencontre vers le cirque de Gaud. En 2004, un comptage a été effectué, il recensait une population variant entre 49 et 80 individus. En réalité, il est trés difficile d'effectuer un comptage précis, on ne sait pas combien il y a exactement aujourd'hui de chèvres vivant à l'état sauvage à cet endroit.
La majeure partie de la population se rencontre vers le cirque de Gaud. En 2004, un comptage a été effectué, il recensait une population variant entre 49 et 80 individus. En réalité, il est trés difficile d'effectuer un comptage précis, on ne sait pas combien il y a exactement aujourd'hui de chèvres vivant à l'état sauvage à cet endroit.
Espèces disparues.
En 1875, Charles-Albin Mazon, au cours d'une descente dans les gorges de l’Ardèche, signalait la présence de plusieurs loups. Aujourd'hui le loup a disparu d'Ardèche.Documentation:
Ouvrages
Bendelé R, Michelot J.L. "La loutre sur le versant atlantique du département de l’Ardèche"; 57 p.; 1994, CORA, Ministère de l’Environnement.
Collectif : "De la Dent de Rez aux Gorges de l'Ardèche"; Ed.Du Chassel/ SGGA. (page 85).
Faugier, Charles : "Mammifères sauvages d’Ardèche"; 157 pages; 2007, La Fontaine de Siloé, Montmélian.
Premiere publication : MAMMIFERES. Edt. GVERV.1989. Par Charles FAUGIER et Gérard ISSARTEL, parue dans le bulletin 07 NATURE n°1-1994 du C.O.R.A.. Ardèche.
Parc des Monts d’Ardèche, "Livret sur la Genette"; à telecharger au format pdf.
Collectif : "De la Dent de Rez aux Gorges de l'Ardèche"; Ed.Du Chassel/ SGGA. (page 85).
Faugier, Charles : "Mammifères sauvages d’Ardèche"; 157 pages; 2007, La Fontaine de Siloé, Montmélian.
Premiere publication : MAMMIFERES. Edt. GVERV.1989. Par Charles FAUGIER et Gérard ISSARTEL, parue dans le bulletin 07 NATURE n°1-1994 du C.O.R.A.. Ardèche.
Parc des Monts d’Ardèche, "Livret sur la Genette"; à telecharger au format pdf.
Glossaire
Espèces férales
Sur le web
Convention de Berne relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l’Europe.
La Convention de Berne est un instrument juridique international contraignant dans le domaine de la conservation de la nature. Elle protège la plupart du patrimoine naturel du continent européen et s'étend à certains États africains. Son objectif est de conserver la flore et la faune sauvages et les habitats naturels et de promouvoir la coopération européenne dans ce domaine.
Créé en 1992, le Comité français de l’UICN est le réseau des organismes et des experts de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature en France.